Quand les anges tombent par Jacques-Olivier Bosco.


Parution aux éditions Jigal , septembre 2014.

« Les bouquins de Bosco flambent comme des incendies ! Sous la pluie embrasée, les mots rougeoient, incandescents. Les pages brûlent mais jusqu’à la dernière, rien au monde ne nous empêchera de les tourner… » Intramuros.

Cinq enfants kidnappés… Un truand impitoyable, Vigo, dit le Noir, condamné à perpét’ pour le meurtre de gamins qu’il nie farouchement avoir commis… Un avion en provenance de Russie qui par malheur s’écrase sur une prison… Un procès truqué, une vengeance… Un préfet assoiffé de pouvoir qui brouille les cartes, un flic déboussolé au fond du trou, un malfrat corse en rupture de ban, un cheminot alcoolo, un juge en fin de parcours, une avocate opiniâtre, des parents bouleversés mais combatifs… Et leurs cinq mômes bien décidés à survivre et prêts à tout pour s’en sortir tout seuls !

« Il est actuellement peu d’auteurs au monde qui osent une écriture aussi viscérale qui, comme le disait Mickey Spillane, prend le lecteur par les cojones dès la première phrase, le happant dans son tourbillon pour le rejeter vaguement groggy avec l’impression d’avoir reçu un direct à l’estomac, puis en pleine tronche. » (K-Libre). Sélection du prix Ancres Noires 2014, finaliste du prix Récit d’Ailleurs, finaliste du prix Polar 2014. Bosco c’est d’abord une écriture acérée et un style percutant à l’efficacité redoutable : brut, punchy, sec et nerveux ! Ses thèmes de prédilection : la haine, l’amitié, l’amour, la vengeance, la fierté, la trahison, l’injustice, la peur et la mort… À le lire, on pense tout à tour cinéma, scènes d’actions et littérature populaire… On pense aussi à Scorsese, Johnnie To, John Woo, à Chase, Malet, Goodis, ou Héléna… Les réminiscences ne manquent pas… Normal puisque « Bosco rend tous les honneurs à la noblesse prolétaire de la littérature populaire avec ses polars durs et cruels menés au rythme des douilles vides qui rebondissent à terre. » (Revue Éléments). Les romans de Bosco, c’est « la rage en partage mais aussi et surtout la tendresse… » (La Cause littéraire). « Bosco c’est une gifle qui remet les idées en place… Bosco a du talent. » (BSC NEWS). Bosco c’est « une déflagration qui vous vrille les tympans. » (DBDLO). Bosco écrit avec ses tripes et ça se sent à chaque ligne. QUAND LES ANGES TOMBENT n’échappe pas à la règle… Quel plaisir !