Cocktail d’inauguration de l’exposition Trains du mystère le vendredi 29 juin à 18h30 à la bibliothèque.
Entre train et roman policier, la rencontre était programmée.
Tous deux sont issus d’une même modernité qui, durant la seconde moitié du XIXe siècle, a vécu une extraordinaire accélération de la marche du monde et bouleversé les rapports entre espace et temps.
Avec l’apparition du train, le roman policier a renouvelé ses intrigues et acquis de nouvelles dimensions. Pour les criminels et les enquêteurs, gares et trains sont des lieux ambigus.
Les faits divers ont très tôt fourni de la matière aux récits d’énigmes liés aux trains.
– Trains du mystère
– Sherlock Holmes ou les trains du logicien
– Fantômas prend le train
– Les trains du roman policier britannique de l’entre-deux-guerres
– 1920-1940 : « Mystery trains » à l’américaine
– Les débuts de l’énigme ferroviaire à la française
– « Atmosphère, atmosphère : les trains de Simenon
– Les sombres trains de la Série noire
– Trains, crimes et mystères en petits fascicules
– Roman historique et TGV.
En lien avec le thème : voyage sans retour : dernière station quai d’aiguillon :recherche pour exposition lors du Festival, maquettes de train, objets de compagnies ferroviaires ou/et martimes ; photos, illustrations en rapport avec le voyage !
Le rassemblement des Vieilles Coques est le plus ancien rassemblement de vieux bateaux en France. Il a été organisé pour la première fois à Concarneau en 1975, il y a 37 ans, c’est sa 32eme éditon.
Jean-Jacques Guillou alors directeur de la société nautique avait senti bien avant les autres, l’envie des propriétaires de vieux gréements de se retrouver en baie de Concarneau pour le seul plaisir de naviguer entre amis.
L’heure de la retraite venue pour lui, la fête des Vieilles Coques s’est endormie après le rassemblement de 1998 au grand regret des habitués.
Les Vieilles coques ont été réveillées en 2005 : naviguer entre amis sur des bateaux traditionnels et se retrouver le soir pour prolonger ce plaisir simple : faire des grillades, chanter en trinquant à la santé de tous ceux qui vont sur la mer.
Le 06 juillet, les bateaux arriveront au Port et le 07, ils seront sur l’eau pour le bonheur de tous.
Chers amis musiciens de jazz, swing, bossa nova
Notre chapiteau, notre scène vous sont ouverts le dimanche 08 juillet pour régaler les auteurs, les visiteurs et les partenaires du Festival.
Pour plus de renseignements, sachant, que nous vous offrons simplement un espace et bien évidemment des échanges et des rencontres en toute simplicité et convivialité, n’hésitez pas à poser des questions à contact@lechienjaune.fr
Sophie Druais, bassiste, contrebassiste et chanteuse en Bretagne, collabore avec des musiciens d’horizons très différents. En club concert au sein d’un jazz big band, à ciel ouvert avec une formation de jazz manouche ou sur scene au festival country, Sophie Druais est une musicienne au répertoire éclectique.
Originaire de St Malo, Sophie Druais se passionne très jeune pour le jazz. Sa vie de musicienne débute à Paris où elle fréquente les clubs et caf’ conc. En 1987, elle intègre le « Movida Big Band » en qualité de bassiste électrique.
En 1991, elle entre au conservatoire du XIVe, dans la classe de contrebasse de Christian Gentet. Elle se consacre à la musique classique, se produisant en orchestre en des lieux prestigieux :
« Cirque d’Hiver » Paris, « festival interceltique de Lorient »...
Après quelques années d’initiation à la musique antillaise en Guadeloupe, elle explore différents styles musicaux (swing manouche, jazz, blues, chanson française, rock, country).
Elle se produit dans les festivals : « Les Vieilles Charrues » Carhaix, le « festival country » Mirande ou en salles de spectacles : « le Liberté » Rennes, « l’ Omnibus » St Malo.
En 2008, elle monte le duo jazz vocal « Two Swing » . Elle revisite les standards jazz de la grande époque du swing et remet au gout du jour de veilles chansons françaises et brésiliennes. C’est ce cocktail original qui donne son identité à ce duo.
Article du Télégramme du 04/03/2012
Brigitte Thévenin qui fut longtemps la « voix » de la matinale de France Inter, réside aujourd’hui à la Pointe de Trévignon, où elle a acheté une maison en 1998. La secrétaire du Chien jaune y passe une retraite heureuse.
Adolescente, elle rêvait déjà de devenir journaliste. Une profession dont elle avait, comme beaucoup, une image d’Épinal. Elle se voyait parcourir le monde, le stylo entre les dents, racontant ce qu’elle voyait à ses lecteurs. Si, finalement, Brigitte Becker-Thévenin a découvert un métier moins trépidant qu’elle ne l’imaginait, elle ne regrette à aucun moment une carrière effectuée principalement à France Inter. De 1998 à 2010, elle fut, le week-end, la « voix » de la radio nationale.
Le siège d’Henri Sannier
Née à Paris, élevée en Normandie par ses grands-parents, elle file à 19 ans en Angleterre, où elle résidera deux ans, avant de retourner en France pour faire le siège du bureau d’Henri Sannier, alors patron de France 3 Caen. « J’ai appris mon métier sur le terrain. Au départ, je faisais des piges, je n’étais pas titulaire ». Brigitte Becker apprend beaucoup au contact d’un journaliste passionné par son travail de localier, Charles Mélingue. « Il n’imaginait pas faire des reportages ailleurs qu’en province », se souvient-elle. Rentrée à Paris, elle participe un temps à la grande aventure de Canal+, pige pour Radio France Internationale.
L’interview de Raymond Aaron
Celle pour qui « le journalisme n’est pas une passion, mais la vie tout simplement », évoque sa rencontre avec le sociologue Raymond Aaron, en 1982. « J’étais une petite débutante, très impressionnée par la personnalité de ce grand monsieur. C’est lui, en fait, qui m’a interviewée », avoue-t-elle, amusée. Sept ans plus tard, la journaliste a pris de l’épaisseur. Ivan Levaï, directeur de la rédaction de France Inter lui confie le journal de 7h30. « C’était pour moi une sorte de consécration. Faire la matinale de France Inter, c’était comme faire le 20heures du JT ». A cette heure-là, dans les couloirs et les studios de Radio France, on voit défiler tout le pouvoir. On croise des ministres, des VIP, ceux qui font et défont le monde. « J’ai vécu en direct la chute du mur de Berlin, la fin du régime de Ceausescu. Nous sommes au coeur de l’histoire en marche », révèle-t-elle.
Le téléphone d’Elie Wiesel
Une expérience enrichissante donc, mais fatigante. « Parce qu’il faut préparer le journal dès deux heures du matin », explique la Bretonne d’adoption. L’expérience ne durera que deux ans. Brigitte Becker-Thévenin se souvient aussi avec émotion de ses interviews de Samuel Beckett réputé peu bavard, d’Alain Peyrefitte, alors ministre de la Justice et d’Elie Wiesel dont elle a gardé les coordonnées téléphoniques. « Forcément, on se sent important quand on a le numéro personnel d’un prix Nobel de la paix », blague-t-elle. « Plus sérieusement, je peux vous assurer qu’on se sent très humble face à des gens aussi remarquables », conclut-elle.
Un article sur le projet de série policière du roman Les jardiniers ne travaillent pas la nuit aux éditions Nuits blanches à la page 102 du Nouvel Obs sorti le jeudi 15 mars 2012. Le roman sera le pilote de la série.
Cinq étoiles dans les livres chroniqués par la rédaction du Télégramme le week-end du 18 mars
Résumé :Un soudeur breton des Chantier de l’Atlantique à Saint-Nazaire, voit sa vie monotone bouleversée par un couple, en pleine crise, qui déjeune à ses côtés. Le soudeur qui défend la jeune femme face aux coups qu’elle subit, entre en contact avec elle et découvre qu’elle est une terroriste de l’ETA. Commence alors un véritable road-movie à travers la France avec cette rencontre improbable et explosive. Un très bel album qui ne laisse pas indifférent.
Berlion, Varenne, Thomas, Pradelle. Emmanuel Proust éditions, 15,50 €.
Le Chien Jaune a un code 2D !
Sophie Guillerm du Télégramme dans l’édition du week-end pascal donne trois étoiles au livre de Amhed Kalouaz.
Résumé
Childéric a l’habitude de passer ses vacances en Bretagne. Chaque été, ses parents y louent une maison. Et pour que leur fils unique de 11 ans ne s’ennuie pas, ils « louent » aussi les services d’un grand-parent occasionnel chargé de l’occuper. Cette année, c’est M. Signol. Arrivé en side-car avec son chien Lasco, ce « grand-père d’été » attentif et non conformiste va s’avérer être un compagnon privilégié pour le jeune garçon. Au moment où de mystérieuses disparitions de chiens font la Une des journaux locaux, le trio se lance à la poursuite du voleur. Les vacances prennent vite une tournure d’enquête policière, avec pour terrain de jeu une Bretagne très présente, sauvage et inspirée, de Saint-Gildas-de-Rhuys à Arzon et Étel. Vie au grand air, rencontres, rebondissements et... crêpes au sucre : l’aventure ne manque pas de piment. Les dialogues spontanés et complices reflètent l’amitié grandissante entre deux générations. Les jeunes lecteurs seront emballés par ce roman... et son héros très attachant qui va vivre un été inoubliable.
Amhed Kalouaz, Rouergue, dès 9ans, 147p.9 €.
Rendez-vous le vendredi 06 juillet pour un voyage à bord du Celtic train. A suivre !
Le Celtic train propose de faire visiter les villes de Concarneau, Bénodet ou Quimper.
Pour une visite de la ville en 40 minutes environ, le Celtic Train fait voyager le visiteur dans l’histoire de Concarneau. Visite commentée sur l’histoire des pêcheurs, des conserveries ou encore des peintres... Tout au long de la corniche, Gauguin et Flaubert racontent leur Concarneau... En conservant son ticket Concarneau, le voyageur pourra profiter d’un petit train semblable sur Bénodet ou Quimper, histoire de découvrir aussi ces deux autres grandes villes du Finistère.
CELTIC’TRAIN, le Petit Train va bon train.
Visites commentées de Quimper, Benodet et Concarneau
sur fond musical.35/40 mn.
tel.06 80 70 58 89 / 02 98 97 25 82
Chers auteurs, amis, voyageurs, usagers du train ou pas,
L’association du Chien Jaune est fière de vous dire qu’elle bénéficie du soutien SNCF.
Ce soutien est de diverses natures, entre autres, des rencontres d’auteurs à bord de train, des énigmes et des polars à gagner, une soirée court-métrage dans le cadre du Festival.
Aussi, tenez-vous prêt et suivez l’actualité !
SNCF vous invite à mener l’enquête dans le cadre du Festival.
Elucidez l’énigme d’Hervé Commère, auteur invité au Festival, et remportez son polar Départs, une exclusivité SNCF Bretagne.
A partir de mi-mai, des énigmes seront distribuées chez les commerçants et à la bibliothèque, elles permettront aux clients et aux lecteurs de tenter de remporter l’ouvrage d’Hervé Commère, qu’ils pourront retrouver pendant les trois jours du Festival, du 06 au 08 juillet.
Comme l’an passé, Le Kitch s’occupe du cocktail du Festival. Souvenez-vous du cocktail femmes fatales et hommes ténébreux, c’était Dom !
Dom, cette année, relève le défi du cocktail des voyageurs qui aura lieu le vendredi soir sous le chapiteau.
Cocktail offert à toutes les personnes ayant un accessoire ou une ressemblance avec des enquêteurs, inspecteurs et autres détectives des années 20 aux années 50 comme Miss Marple, Sherlock Holmes, Docteur Watson, Sam Spade, Fantômas, Maigret, etc.
Le Kitch
Un plat, un verre ... Un verre, un plat !
Faites comme chez vous ! Ici cette phrase prend tout son sens, et pour une fois c’est vrai.
Le plus petit restaurant de Concarneau, mais avec l’une des plus belles caves, tenu par Dom, un passionné, qui vous parle de ses accords mets/vins* comme un Pagnol de Comptoir.
Des plats simples, un accueil convivial, en famille, entre amis ou en groupe, il y a toujours une formule qui semble sur mesure.
Dépaysement garantie sur sa terrasse discrète. Grand choix de vins au verre.
Le Kitch
20, rue Dumont d’Urville - Concarneau - 02 98 50 82 96
* L’abus d’alcool est dangereux pour la santé, consommez avec modération.
Soirée court Métrage SNCF dans le cadre du Chien Jaune au Centre des arts à Concarneau le jeudi 05 juillet à 20h30.
VISIONNEZ, EVALUEZ ET VOTEZ pour 7 courts métrages polars le temps d’une heure et demie - soirée gratuite ouverte à tous dans la limite des places disponibles.
Cette sélection est le fruit d’une concertation d’un comité de professionnels passionnés de films courts. Ils prêtent leur expertise au PRIX SNCF DU POLAR pour offrir au public le meilleur du genre et permettre à faire de ces auteurs encore peu connus les « incontournables » de demain.
Krampouz ar mor, située dans les Halles à Concarneau soutient le Festival du Chien Jaune.
Vous trouverez dans les Halles des crêpes de froment, blé noir, gâteau breton, kouign amann, cidre, caramel et autres produits bretons à emporter ou à consommer sur place.
Pour vos commandes de crêpes, vous pouvez téléphoner au 06 58 16 29 86.
La présentation de l’affiche et du programme se déroulera le samedi 12 mai à la maison du Kouign Amann en Ville close à 18h.
La maison du Kouign Amann fait partie des fondateurs du Festival du Chien Jaune, elle est à ses côtés depuis 18 ans et c’est elle, qui participe à l’accueil et à la bonne réputation du Festival en offrant à chaque auteur invité un kouign amann.
La Maison du Kouign Amann, au coeur de la Ville-Close, vous propose kouign amann, gateaux bretons, fars au beurre frais de baratte et boissons typiques de Bretagne.
Notre célèbre Kouign-Amann est disponible en ligne dans l’échoppe !
La Maison du Kouign Amann
Ce gâteau chargé de beurre salé est une des spécialités gastronomiques les plus reconnues, par l’originalité autant que par le goût. Le nom, littéralement gâteau de beurre, apparait lui-même comme exotique aux oreilles qui ne sont pas habituées à la langue bretonne.
SNCF nous offre la possiblié de découvrir en avant-première ou presque la sélection 2013 du prix Polar SNCF à la bibliothèque à partir du 29 juin dans le cadre du Festival.
Pour en savoir plus sur ce prix, rendez vous sur le site du prix Polar SNCF.
Avis aux voyageurs, aux usagers du réseau Busco,
Retrouvez et élucidez l’énigme d’Hervé Commère pour remporter son polar "Départs", une exclusivité SNCF Bretagne dans les bus du 15 juin au 07 juillet.
Auteur du polar « Les ronds dans l’eau », romancier à la fois comblé par son destin et malicieux, Hervé Commère sera, début juillet, l’un des invités du Festival du Chien Jaune.
À 37 ans, il a déjà vécu plusieurs vies. Comme les chats à qui on en prête neuf. Hervé Commère n’en est pas encore tout à fait là. Étudiant en lettres modernes à Rouen, barman dans des brasseries françaises et anglaises, à la montagne et à la mer, propriétaire de deux bars de jazz en Normandie, puis d’un petit estaminet de restauration rapide à Rennes et enfin écrivain de polar... « J’ai toujours voulu être acteur de ma vie, me sentir exister. Un enseignement délivré par mon père. Aujourd’hui, je recherche un peu plus le calme. L’action est dorénavant dans mes livres », assure-t-il avec espièglerie.
Polar sans policiers
Né à Rouen d’une famille de brocanteurs, musiciens, touche-à-tout, Hervé Commère a été très influencé par une éducation originale. « Depuis que je suis gamin, je fais travailler mon imaginaire. Mon premier livre, je l’ai écrit à 8 ans. Encore maintenant, je ne m’endors jamais sans me raconter une histoire ». Avec pour l’instant deux romans publiés, le fiancé heureux de la Trégunoise Chloé n’a pas la prétention d’avoir un style, ni d’être reconnaissable entre mille (auteurs). Même si, oui, il attache une grande importance à la narration, aux mots, à la musique de la phrase, à l’intrigue. Une intrigue avec des morts mais sans policiers. Une intrigue avec des personnages qui toujours se croisent et s’aiment parfois. Alors ? « Les ronds dans l’eau », vrai polar ou roman d’amour ?... Polar, affirme son éditrice qui sait forcément tout.
Un témoin attentif
Durant des années, dans ses bars de jazz enfumés, fermés à l’heure réglementaire de 2h du matin, Hervé s’est nourri de rencontres fugitives mais fantastiques. « J’ai été le témoin de situations et de dialogues extraordinaires. J’étais au théâtre tous les soirs. Et puis, j’ai arrêté cette vie nocturne, c’était usant à la longue. J’utilise désormais tout ce matériau quand je suis devant ma table d’écriture », indique-t-il. « Étudiant, je ne rêvais que d’une chose : écrire des romans. L’idée de découvrir mon propre livre dans la vitrine d’une librairie, ça m’éblouissait ».
La vie de ses romans
Le rêve est devenu réalité. Tout d’abord avec « J’attraperai ta mort » (2009). Il créait Yvan, le personnage principal de son deuxième ouvrage, deux ans plus tard. « Parfois, je me demande ce qu’il devient », s’interroge-t-il en souriant. Et puis, Hervé a découvert quelque chose de tout aussi gigantesque que ses livres dans les vitrines des librairies : les lecteurs, ses lecteurs. « Je les rencontre lors de séances de dédicace ou de lecture. Ils ont un avis sur mes personnages, sur leurs traits de caractère. Mon livre ne m’appartient plus. Il vit de ses propres ailes dans l’imaginaire de ceux qui l’ont lu », s’étonne encore, avec éblouissement, le Tréguncois de coeur.
Isabelle Calvez
SNCF est partenaire, et soutient, la 18ème édition du festival du polar de Concarneau organisée du 06 au 08 juillet 2012 par l’association Le Chien Jaune. Plusieurs évènements sont nés de cette coopération.
UNE ANIMATION « RENCONTRE/DÉDICACE » À BORD D’UN TGV
Vendredi 29 juin 2012, les voyageurs du TGV Rennes-Quimper, 14h28-16h35, seront invités
à mener l’enquête et à rencontrer Hervé Commère et Olivier Keraval, deux auteurs de polar
rennais. Les voyageurs ayant résolu une énigme imaginée pour l’occasion
Pour en savoir plus, cliquez ici
QUIMPER VILLE/ Festival du polar. Le Télégramme du 28/06/2012
Le festival concarnois du polar Le Chien Jaune a fait du « voyage sans retour » le thème de son édition 2012, la dix-huitième.
Il le décline à travers plusieurs animations, dont un rendez-vous original dès vendredi à bord du TGV Rennes-Quimper de 14h28, en partenariat avec la SNCF.
– Il s’agira d’une rencontre dédicace avec deux auteurs, Hervé Commère, édité chez Gallimard et Fleuve noir, et Olivier Keraval,
scénariste de l’album de bande dessinée « Danse macabre » paru aux jeunes et prometteuses éditions Sixto.
En parallèle à ces rencontres, un jeu des sept erreurs, insérées dans un fascicule distribué en début de voyage, sera proposé aux passagers du train.
– Les 25 premiers à avoir résolu l’enquête se verront remettre une nouvelle policière ou l’album « Danse macabre » dédicacé par Olivier Keraval. L’arrivée du train à Quimper est prévue à 16h35.
– Le partenariat avec la SNCF permet au Chien Jaune d’étoffer sa programmation.
– Pour l’ouverture du festival, le jeudi 5juillet une soirée de projection des courts-métrages du « Prix SNCF du polar » sera, par exemple, organisée au Centre des Arts de Concarneau, à 20h30.
Bravo à notre partenaire "Les vieilles coques" pour leur très belle affiche une fois encore !
"Les vieilles coques" se déroulent pour la 32e fois à Concarneau du samedi 07 au dimanche 08 juillet, elles rassemblent des passionnés, des amateurs de balades nautiques, maritimes.
Affiches et autres produits en vente le 7 juillet ! Rendez-vous à Concarneau !
Né de la fusion de Dogger et German et du membre fondateur de Black Sand, ce nouveau trio brestois au nom guerrier de ow distille une musique aussi diverse que variée entre pop, rock et folk appuyant des textes ciselés qui parlent de filles, de garçons, d’expéditions improbables d’amour et de mort. Un groupe qui parle de voyage sans retour !
Un aperçu musical à écouter, les trois extraits Saloum, Penelope et Arcole :
Saloum : |
Penelope : |
Arcole : |
Souvenir de l’édition 2011 pour vous donner envie !
Rappel :
Rendez-vous Celtic train à 18h devant les Halles !
Le cocktail des voyageurs est accessible aux personnes ayant un accessoire de voyage ou toute ressemblance avec des enquêteurs, officiers de police des années 20 aux années 50.
Cocktail préparé par le Kitch, 20, rue Dumont d’Urville, accrochez vos ceintures, ça va décoiffer !
La soirée à l’hôtel des Grands voyageurs sera réservée aux personnes ayant acheté leurs bons de voyages au wagon bar le vendredi pendant la journée.
Bon voyage gustatif et belle soirée en perspective !
L’auteur, entre autres, de Mary Lester, Jean Failler sera présent au Chien Jaune dimanche après-midi à partir de 15h !
Le Chien Jaune passe à la TV !
Regardez Tébéo jeudi 5 juillet vers 17h30 !
En face de la ville close, les auteurs seront là pour vous dédicacer leurs derniers livres.
Les premiers lecteurs sont arrivés, les auteurs prêts à répondre à vos questions, les vieilles coques arrivent au ponton, le blibliobus de concarneau est présent.
Vendredi soir les voyageurs ont débarqué Quai d’Aiguillon.
M. André Fidelin, maire de Concarneau, et Mme Gaël Le Meur, conseillère régionale, nous ont fait l’amitié d’inaugurer cette 18e édition.
Un cocktail préparé par Le Kitch attendait nos mystérieux voyageurs à leur descente du Celtic Train.
Pascal Millet et Pascal Vatinel, forts de leurs expériences respectives en Amérique du Nord et en Chine, ont animé une rencontre avec les visiteurs du festival ce samedi matin à la bibliothèque municipale de Concarneau.
Ce samedi soir le trio Sophie Druais nous offre une belle prestation de jazz
en revisitant les standards de la grande époque du swing et remettant au goût du jour de veilles chansons françaises et brésiliennes.
Pour leurs prochaines dates de concert et écouter des extraits visitez leur site :
Merci Fred et Fred de la Maison du Kouign Amann pour leur spécialités artisanales.
Pour ceux qui n’ont pas pu faire le déplacement, petit aperçu du talent d’Olivier Thomas qui dédicace sa BD Dos à la mer, parue chez Emmanuel Proust.
Le Chien Jaune joue les prolongations en vous invitant à découvrir ou redécouvrir l’exposition Trains du mystère à la Bibliothèque municipale de Concarneau jusqu’au 29 juillet ainsi qu’une sélection de polars sur le thème du voyage pour avoir une bonne raison de frissonner tout l’été !
L’assemblée générale s’est déroulée le samedi 27 octobre.
Les premières informations sur l’édition 2013 vous attendent à la rubrique Programme du festival.